« En 2023, j’offre une bonne coupe à la comptabilité papier »

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La coiffeuse Vanessa passe à Yuki avec mélancolie (et un mauvais wifi)

Vanessa De Bus est certes une pro des ciseaux, mais hésite à tirer parti de cette dextérité pour passer à la comptabilité numérique. « Pas plus tard que début juillet, j’ai encore déposé une caisse de documents papier chez Buro Lauwers. Pour le troisième trimestre, j’ai dû me convaincre de tout charger dans Yuki. Mais dès 2023, je veux y aller à fond ! Il le faut ».

« Je suis un peu effrayée », affirme-t-elle d’emblée. « Et nostalgique du papier. Je range tout méticuleusement dans mes classeurs. Si je cherche un document, je le trouve immédiatement. Je ne reporte pas non plus au lendemain. Deux fois par semaine, le mercredi et le dimanche, chacun sait que j’ai besoin de tranquillité, car je fais les paiements. Depuis des années. Je garde ainsi une vue d’ensemble et une totale sérénité. Quand j’ai commencé à utiliser Yuki, j’ai instantanément perdu cette confiance ».

Pourquoi ?


« En toute honnêteté, cela n’a rien à voir avec Yuki. Ça ne m’intéresse tout simplement pas et ça demande un effort. J’ai une aversion pour tout ce qui concerne le numérique. Internet n’est donc pas mon biotope naturel. Ma connexion wifi n’est d’ailleurs pas de nature à me faire changer d’avis. Lorsque je passe de temps à autre devant l’ordinateur pour consulter mes e-mails, je dois toujours surmonter mon irritation en attendant que la petite roue sur mon écran arrête de tourner. Il me faut des siècles pour me connecter ».

« Je ne connais pas suffisamment Yuki pour l’utiliser en toute confiance et rechercher des documents avec la même facilité que dans mes classeurs »

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Vos fournisseurs envoient-ils des factures numériques ?

« Certains le font et je les transfère immédiatement à mon adresse e-mail Yuki. Je dois admettre que je trouve ça très pratique en soi. Mais il arrive plus d’une fois qu’une facture atterrisse dans le courrier indésirable ou se cache parmi une série de messages sans intérêt. Des semaines plus tard, je reçois soudain un rappel, alors que je ne savais même pas qu’une facture était arrivée. Je déteste ça. C’est aussi pourquoi je demandais, dans le passé, aux fournisseurs de ne pas envoyer de factures numériques. Depuis que j’utilise Yuki, je les scanne, tout comme les justificatifs de dépenses que je reçois de temps en temps ».

Les fournisseurs seront heureux de changer, non ?


« Ces aspects pratiques ne constituent pas le plus gros obstacle. C’est principalement l’incertitude. Le sentiment de perdre le contrôle et de ne plus avoir de vue d’ensemble. L’absence de routine me fait constamment craindre de mal faire quelque chose. Je ne connais pas suffisamment Yuki pour l’utiliser en toute confiance et rechercher des documents avec la même facilité que dans mes classeurs. Mon manque d’envie de m’y plonger est grand, mais... »

Mais ?


« Si je devais prendre ma retraite demain, je m’épargnerais cette peine… Mais je vais encore devoir travailler un certain temps et je n’ai pas envie de rester aussi longtemps dans l’incertitude. Il faut donc faire le pas et j’ai la ferme intention de me mettre à 100 % à Yuki dès janvier. Que Lauwers soit prêt à répondre à mes questions ! »

Bon plan, Vanessa !
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